La fougue du jeune âge ! Conduit par une cheffe franco-britannique de vingt-trois ans au talent insolent, l’ONDIF interprète un programme qui respire la hardiesse et l’aplomb de la jeunesse. Beethoven n’avait en effet pas trente ans lorsqu’il présenta au public cette première symphonie. Britten quant à lui, n’avait pas vingt ans lors de la création de Simple Symphony. Empli lui-même d’une franche joie de vivre, le Concerto pour violoncelle n°1 de D. Kabalevski est une des compositions les plus marquantes de ce musicien soviétique.

— Au Programme —

Benjamin Britten, Simple Symphony (17min)

Dimitri Kabalevsky, Concerto pour violoncelle n° 1 en sol mineur (16min)

Ludwig van Beethoven, Symphonie n° 1 en ut majeur (27min)